Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 16:26

3886709535_18590479a8.jpg

Ca faisait longtemps que j'hésitais et puis j'ai fini par faire le pas et acheter un de ces fameux robots apirateurs. Un achat qui peut paraître superflu. Oui mais voilà, le ménage et moi ça fait deux, et de plus j'ai un chat qui perd une belle quantité de poils et les poils de chat sur le tapis, c'est la galère.

 

Pas de vidéo d'unboxing ^^...

 

Le modèle est relativement simple mais la notice super compliquée, elle est destinée à tous les modèles. Au bout de queques essais j'en arrive à la conclusion suivante: très utile surtout si vous avez un peu de surface à nettoyer, le robot se déplace dans la pièce, il est beaucoup plus efficace qu'un aspirateur classique car il possède des brosses rotatives. Il faut lui dégager l'espace pour qu'il puisse passer mais se faufille facilement sous les tables et les meubles, il a des fonctions spéciales pour détecter lorsqu'il se prend dans les câbles. Relativement bruyant, il faut le laisser tourner quand on part ou en fermant la porte.

 

La pièce (et le tapis) finit toujours dans un état nickel sauf s'il y a beaucoup de poussière auquel cas, le bac du robot se remplit et il faut le vider et le relancer une deuxième fois. Si la base de recharge se trouve dans la pièce, il retourne se mettre en recharge, sinon il s'arrête (parfois sous la table). Une fois le ménage fini, il faut vider les bacs et nettoyer les brosses, un exercice assez rapide qui prend peu de temps (2 minutes max). Bref, un achat que je recommande...

Partager cet article
Repost0
1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 10:48

nullL'UFC Que choisir lance un appel pour trouver des consommateurs ayant des factures déconnectées de toute réalité.

 

Alors que les banques instaurent d'office des plafonds sur les retraits de carte bleue ou des SMS d'alerte lorsque votre compte descend en dessous d'un certain seuil, les opérateurs orientent leurs offres vers la facturation sans limite. On voit périodiquement dans les faits divers, des consommateurs recevant des factures abradacabrantesques et engageant des discussions avec des services qui fonctionnent par automatisme.

 

Certes on peut toujours opter pour un forfait bloqué, mais ce type d'offre est orienté par le marketting vers une cible adolescente. Et il y a là, une différence entre d'un côté souscrire à une offre bridée et de l'autre disposer d'un réel contrôle sur sa facturation.

 

Rien techniquement n'empècherait un opérateur d'envoyer un SMS d'avertissement lorsque la consommation dépasse un certain montant, il me semble notamment que Coriolis le fait. Le fait est que tous les efforts portent sur l'augmentation des profits, engager de l'argent sur un tel système n'est absolument pas la priorité. Le système entraine mécaniquement le consommateur vers le service de recouvrement avec une présomption de culpabilité alors que c'est l'opérateur lui-même qui détient les clefs de la vérification de la facture. Le dossier peut même être transmis à une société de recouvrement avant que l'opérateur ait le temps de regarder la facture.

 

Espérons que l'UFC obtiendra gain de cause dans ce débat et que l'ARCEP  contraindra les opérateurs à plus de contrôle.

Partager cet article
Repost0
24 janvier 2011 1 24 /01 /janvier /2011 22:14

Le livre numérique est devenu un acteur à part entière aux Etats-Unis, il balbutie encore en France. Tout le monde se demande comment va évoluer le marché français. En regardant ce débat, je me suis rendu compte de plusieurs choses.

 

Dans le schéma actuel, les auteurs produisent et vendent aux éditeurs, qui font la promotion, transmettent aux imprimeurs, gèrent les stocks, distribuent en librairie. Une chaîne plutôt opaque où on ne sait pas trop qui gagne combien mais contrôlée par l'éditeur. Avec le modèle du Numérique, les imprimeurs et la librairie disparaissent du circuit bien que ce sujet soit actuellement tabou, restent les éditeurs et un nouvel acteur: les opérateurs. Les opérateurs sont des sociétés (amazon, fnac, apple...) qui créent des sites pour vendre des ebooks en les achetant directement aux auteurs mais ce ne sont pas des éditeurs au sens classique du terme comme nous le verrons plus tard.

 

Officiellement, les auteurs restent fidèles aux éditeurs car la majorité des revenus provient du papier mais on sait pas pas combien de temps durera encore la situation. D'autant que les opérateurs font du pied aux auteurs en leur offrant de gros pourcentages alors que les éditeurs offrent un pourcentage guère plus élevé que sur le papier. Les éditeurs expliquent cette différence par une recherche: comment transcrire la qualité d'impression sur un ebook, sortir le livre dans différents formats (tous les ebooks ne sont pas compatibles) et travailler sur des DRMs.

 

Pour ceux qui ne connaissent pas, les DRMs sont des morceaux de logiciel dans l'ebook qui sont conçus pour éviter le piratage. Ces DRMs font en sorte que vous ne puissiez lire l'ebook que sur une machine, si l'ebook est téléchargé par une autre personne, il sera pas lisible chez elle. Le problème avec ces fichiers, c'est que vous pouvez avoir plusieurs ordinateurs, ou plusieurs ebooks, et c'est le même problème que pour les MP3 légaux, si vous les avez lu sur votre PC, ils n'iront pas dans votre baladeur, ou dans votre téléphone. Une pratique qui énerve les utilisateurs qui achètent un produit mais sont excessivement bridés dans son utilisation, les poussant vers les plateformes de piratage, le DRM c'est un peu comme si vous achetiez une bibliothèque qui pourrait s'autodétruire...

 

De leur côté, les opérateurs s'efforcent de promouvoir leur plateforme, car le marché est en phase de décollage, et chacun développe son format et son ebook reader. Le but étant de verrouiller le client sur sa plate-forme avec sa DRM, celui qui croîtra le plus vite aura un avantage décisif, car chaque portail assurera la promotion des ebooks qu'il veut.

 

Certes le livre n'est pas condamné à disparaître mais à devenir un objet de collection ou de luxe. Les imprimeurs et les libraires seront les premiers perdants. Les éditeurs et les opérateurs deviendront concurrents et la loi du marché fera disparaître des acteurs. Les auteurs ont de fortes chances d'être gagnants durant cette phase d'affrontement, jusqu'à ce que le marché se partage entre une poignée d'acteurs où ils reviendront à la situation actuelle car les actionnaires n'aiment pas partager les bénéfices. Il reste une inconnue c'est le piratage, la DRM énerve les utilisateurs et risque de favoriser le piratage, le modèle pourrait devenir instable et créer une crise comme celle qui touche l'industrie du disque.

Partager cet article
Repost0
17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 22:28

On s'ennuie parfois au travail aussi je vous propose un petit divertissement.

Bon a priori, ça a l'air terriblement aride mais vous verrez vite que vous ne pourrez plus vous en passer. Certains progressant bien sûr plus vite que d'autres.

 

On a tous dans notre environnement un collègue qui brille par une caractéristique pas forcément recherchée par les RHs. Je vous propose de créer, avec le concours d'un autre collègue appréciant ce trait à sa juste valeur, une nouvelle unité de mesure qui porte le nom de votre collègue.

Et pour rendre la mesure plus exacte, je vous conseille d'adopter le système du Zéro Absolu. En physique, on s'aperçoit que la température correspond à la vitesse des particules aussi un système où les particules ne bougent pas, c'est le système le plus froid du monde et correspond au 0 absolu(*).

Donc lorsque n'importe quel collègue fera un email, une proposition, exprimant la caractéristique voulue, vous donnerez une mesure dans l'unité et échangerez votre avis avec l'autre créateur de l'unité. Et plus la caractéristique sera fortement exprimée, plus vous tendrez vers 0. 0 étant la perfection absolue le mètre étalon. Il vous faudra vous plonger dans les systèmes grecs pour découvrir l'infiniment petit mais vous verrez que vous vous y ferez vite.

Par exemple: "Houlàlà, cet article fait bien 1,2 nanobeldechien"

 

(*) En fait, en mécanique quantique on démontre que le mouvement nul n'existe pas et que le mouvement le plus faible correspond à l'oscillateur harmonique au repos (Une particule coincée entre deux autres particules se met à osciller).

Partager cet article
Repost0
13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 12:04

Ma bibliothèque est pleine, les livres s'y entassent et sont parfois difficiles à se procurer pour peu qu'on essaie de les avoir en VO.

 

Je me suis demandé ce que peuvent valoir les e-books reader. Les quelques articles comparatifs sont bourrés de termes techniques et je n'ai pas trouvé d'argument me décidant à acheter.

 

Un ami me dit qu'il vend son Sony PRS-505 et me propose de l'essayer. Il s'agit d'une ancienne génération mais je peux l'avoir à prix d'ami :)

 

Comme la plupart des readers, il est entouré d'une couverture simili cuir, coque en métal, beaucoup de boutons pour la plupart redondants (que les nouveaux modèles n'ont plus).

Je prends un des livres gratuits se trouvant dessus: Le portrait de Dorian Gray. Après quelques pages, je peine à lire et me rend compte que celà vient de la mise en forme: l'e-book contient des marges ce qui fait que je perds de la surface d'affichage et les lignes deviennent toutes petites. Je clique sur un bouton pour agrandir et là merveille des lignes beaucoup plus grosses apparaissent, mais je me rends également compte qu'une partie de la mise en forme a sauté: les paragraphes ne sont plus espacés mais collés les uns aux autres. Une page fait maintenant a peu près 2 écrans un quart. Ça me gâche un peu le plaisir mais je rentre assez vite dans l'histoire.

 

Je teste avec un autre livre ça provient bien de la mise en page du premier livre...

 

Pas convaincu, je décide d'aller faire un tour au Darty pour comparer avec d'autres produits. J'écarte très vite, l'ipad et les autres tablettes qui ne fournissent pas un confort visuel de lecture comparable à un livre (sans parler de l'autonomie): certes l'écran est large mais le rétroéclairage est trop loin de la qualité d'un e-book. Les autres readers sont figés sur une page, j'attrape un vendeur qui m'explique qu'ils sont déchargés mais qu'ils ne savent pas où se trouvent les chargeurs.

 

Le lendemain, début des soldes, je me lance courageusement dans la FNAC, le "FnacBook" (kindle) est partout. J'en prends un en main, il est petit, en plastique, l'interface est minimaliste et répond bien. Mais je le trouve trop petit, il y a peu de phrases affichées et appuyer plusieurs fois pour tourner la page ça peut irriter. D'autres modèles sont en expo sous vitrine, on m'explique que seul le FnacBook est en démo.

 

Direction le Virgin, rebelote j'arrive au rayon livres, un Sony Reader est en expo, je le prends mais il ne s'allume pas. Je m'adresse à une vendeuse qui m'indique qu'il n'y a pas de batterie dans celui-là et qu'il faut aller au rayon high tech pour le tester. Pour info, elle est un peu froide, ce qui est un peu normal vu que vendre du papier c'est son métier... Je me rends au fameux rayon où deux vendeurs sont pris d'assaut pour les soldes, 3 readers éteints et sous vitrine. Au bout d'un quart d'attente, j'ai lâché prise car je me suis dit qu'après 1 heure de queue on allait me dire qu'on ne savait pas où étaient les batteries ou qu'elles n'étaient pas chargées.

 

Aujourd'hui, mon ami m'a conseillé de télécharger Calibre un gestionnaire e-book et je me suis rendu compte qu'il savait remettre en forme les e-book notamment pour redimensionner les marges trop importantes et là du coup c'est très agréable.

 

En conclusion, je dirai qu'il est difficile d'acheter ce genre d'équipement prinicpalement parce que les circuits de vente n'en font pas la promotion. Je ne peux que vous donner que quelques conseils: évitez les tablettes type ipad, écrans de 5 pouces trop petits, essayer de tester les équipements chez vos amis qui en ont déjà. Enfin méfiez-vous des readers connexion 3G/Wifi qui vous connectent à une plateforme d'achat, un livre ça se sélectionne après une bonne recherche ;)  Je suis pour l'instant dans l'euphorie car j'ai maintenant accès à une énorme boutique tombée dans le domaine publique dont je peux disposer instantannément avec une lecture agréable, à la lumière du jour...

 

Partager cet article
Repost0